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La Brèche

 

LIRE LE MÉMOIRE:

« La brèche » : https://alessandra-allioli.com/wp-content/uploads/Mémoire-Alessandra-Allioli.pdf

 

            Ce mémoire, est à lire comme un carnet de recherche, écrit et illustré. Je me suis donnée avec, l’objectif  de chercher à travers diverses références, fantastiques, historiques, philosophiques, scientifiques  etc… comment des questionnements autour des systèmes de représentations ont été abordés dans différents champs. Très vite je regroupe instinctivement et avec mes références personnelles 7 thèmes qui sont mes axes et qui seront mes brèches, et qui symbolisent à mon sens parfaitement par leur nature et ce qu’ils suggèrent dans l’imaginaire,  des questionnements métaphysiques autour de notre rapport à la réalité, à la perception, et aux représentations: Et j’entend comme représentation a ce moment là: comme « produit et comme processus d’une élaboration psychologique et sociale du réel ». Je laisse de côté un moment le sujet de la représentation féminine et je me penche sur ce concept de représentation.

Si l’on regarde la définition d’une brèche, on peut lire :

« Ouverture, trouée accidentelle ou volontaire faite dans un mur, une clôture, un obstacle artificiel ou naturel. les brèches, aussi petites soient t-elles, bouleversent la logique de séparation ou de cloisonnement des espaces en les réunissants. Cette fonction peut servir de métaphore à bien des égards. Situés sur, à la frontière de toute chose, la brèche ouvre des possibilités, elle rend visible l’invisible. Elle est également devenue l’emblème des solutions quasi-magiques autour du changement, de renouveau, de l’inédit, et de l’ailleurs.

Les  7 brèches que je choisit alors pour m’aider à aborder cette recherche sont: Le miroir, la pilule, le lapin blanc, le trou noir, le labyrinthe, la brume, et le masque.

Si à l’appel de ces brèches, vous avez en tête les Aventure d’Alice aux pays des merveilles ou encore les films de la série Matrix. C’est qu’ils étaient les parfaits sujets pour aborder ce mémoire. En tout cas pour moi c’était assez évident. Il y a eu une forme d’absurdité dans l’exercice de cette recherche. Une tentative complètement veine de comprendre ce qu’il y a en dehors de nos modes de représentations et comment ses explorations sont elles-même représentées. C’est comme si je voulais absolument trouver une solution, ouvrir une brèche pour en sortir tout en plongeant complètement dedans. Et ma conclusion finalement qui est tout à fait satisfaisante, c’est que la brèche ne se trouve pas à la frontière des cadres de représentation ni en dehors de ceux-ci mais à l’intérieur et qu’elle n’est en aucun cas unique. On ne peut pas en sortir mais on peut se déplacer à l’intérieur! Ce mémoire tel qu’il est aujourd’hui est non exhaustif, c’est-à-dire que je considère pouvoir rajouter au fur et à mesure des éléments, des brèches, qui me servent d’outils par  leur caractère symbolique pour traiter certains sujets complexes plastiquement.

 

 

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